(1) Ici Hz Mevlânâ répète « les festins et les mariages ». Pour éviter la lourdeur à la traduction, nous avons évité cette répétition.
(2) Le jeune époux est appelé « le roi époux » (« shah dâmâd ») en persan. En français, le mot « prince » nous semblait plus approprié dans ce contexte pour désigner le jeune marié.
(3) Hz Mevlânâ utilise le mot « nafs » qui désigne l’âme charnelle.
(4) Hz Mevlânâ répète toujours le même mot « khosh » qui veut dire gaiement, bien, beau, plaisant, agréable…
(5) Hz Mevlânâ joue avec le mot « djouy » qui est dans la racine du mot ruisseau (« djouy ») et dans le mot chercheur (« djouya »)
(6) Hz Mevlânâ utilise une expression « pâ goshâdan » qui veut dire littéralement « ouvrir le pas » – cette expression appartient au champ lexical du mariage : la famille de l’époux, donne une fête après le mariage pour accueillir la mariée dans la famille. Ouvrir le pas voulant dire ouvrir le chemin pour que la mariée puisse mettre le pied dans la famille.
(7) Ici Hz Mevlânâ joue avec la répétition du mot « djân » qui veut dire âme, ami, vie, l’être…
(8) Hz Mevlânâ utilise le mot « anghâ’ » qui est un oiseau mythique, pouvant être le Simorgh.
(9) « Dohol » est un instrument de percussion, un gros tambourin.
(10) Ici Hz Mevlânâ utilise le mot « gerdak » qui peut vouloir dire une ronde, mais aussi la chambre nuptiale.
(11) « Daaf » est un instrument de percussion.
(12) Ici Hz Mevlânâ répète le mot « hamrâ » qui désigne à la fois une personne rousse, une couleur rouge et une chaleur ardente.
(13) Hz Mevlânâ utilise le mot « senân » désignant les fers de lances, des épées, des armes en lame de fer…
(14) Hz Mevlânâ utilise le mot « matbakh » qui veut dire Cordon-bleu, un chef de cuisine reconnu.
(15) Hz Mevlânâ utilise ici le mot « farrokh » qui a le double sens de heureux : joyeux, et de bon augure, auspicieux.
(16) « Halvâ » est une douceur orientale qui est mangée pour les célébrations, notamment de mariage.